Institute for Historical Review

Institute for Historical Review

Beirut Revisionist Conference

INSTITUTE FOR HISTORICAL REVIEW

P.O. Box 2739 - Newport Beach, CA 92659 - USA E-mail: weber@ihr.org
Fax: 949 - 631 0981 Web site: www.ihr.org
Mark Weber, Director

April 2, 2001

Par avion et recommandé

Le Monde
21 bis rue Claude Bernard
BP 218
75242 Paris cedex 05
France

Je vous demande, en vertu de la loi de la presse de juillet 1881, de publier le texte ci-joint en droit de réponse, à la même place et dans les mêmes caractères que ceux de l'article auquel j'adresse cette réponse.


L'Institute for Historical Review n'est en aucune façon une organisation néo-nazie, comme l'affirme Le Monde du 16 mars 2001 ("L'Appel de quatorze intellectuels contre une conférence révisionniste"). Cette accusation est mensongère.

Depuis plus de vingt ans, l'IHR s'oppose à la discrimination, à la censure et à la répression dans tout ce qu'il fait pour éveiller la conscience du passé. Parmi les auteurs qui contribuent à nos publications ou qui viennent parler à nos conférences, on compte des universitaires respectés dans le monde entier. Nous sommes

fiers de recevoir le soutien de personnalités venant des horizons ethniques ou religieux les plus divers, y compris parmi les Arabes, les musulmans, les Noirs et les juifs.

A la treizième conférence que nous avons organisée en mai dernier en Californie, l'un de nos principaux orateur était John Sack qui se trouve être juif. C'est un journaliste qui a une longue expérience. Il a relaté ces trois journées dans un article paru dans Esquire (février 2001). Il a montré que l'IHR et les révisionnistes n'étaient nullement animés par la "haine" ou le racisme. Il a trouvé que les participants étaient des gens "affables, intelligents, intellectuels, dotés d'un esprit ouvert". Il a ussi affirmé que beaucoup d'arguments et de résultats établis par les révisionnistes sont vrais.

Parmi les autres orateurs, on compte un ancien membre du Congrès américain, Pete McCloskey, connu comme libéral et défenseur de la liberté d'expression.

On ne sache pas que les organistions néo-nazies aient pour habitude d'inviter des libéraux et des juifs comme orateurs dans leurs réunions.

Loin d'être un groupe "néo-nazi", notre Institut est lui-même l'objet de campagnes de haine, de discrimination et de violence. En juillet 1984, nos bureaux ont été détruis par un incendie criminel dont les fauteurs n'ont pas été retrouvés.

Le fisc américain lui-même a dû reconnaître, malgré les protestations des milieux sionistes, que l'IHR est un établissement à vocation éducative.

On voit bien que par le monde se lève une prise de conscience de ce que quelques auteurs juifs ont le courage d'appeller "le culte de l'Holocauste" et "l'industrie de l'Holocauste". Pour aborder ces questions qui sont chargées d'émotions, il faut débattre en s'appuyant sur la raison, et non sur l'insulte et la censure.

Mark Weber
Directeur de l'IHR.
<weber@ihr.org>


INSTITUTE FOR HISTORICAL REVIEW

P.O. Box 2739 - Newport Beach, CA 92659 - USA E-mail: weber@ihr.org
Fax: 949 - 631 0981 Web site: www.ihr.org
Mark Weber, Director

April 2, 2001

By registered air mail

Le Monde
21 bis rue Claude Bernard
BP 218
75242 Paris cedex 05
France

In accord with the press law of July 1881 I demand the right of reply by publication of the following letter, in the same place and in the same typeface, as the item to which it responds.


The Institute for Historical Review is not, as Le Monde has told its readers, a "neo-Nazi organization" ("L'appel de quatorze intellectuels arabes contre une conférence négationniste," March 16). This charge is a lie.

For more than 20 years, the IHR has opposed bigotry, censorship and repression in its efforts to promote greater historical awareness. Speakers at our meetings and contributors to our Journal of Historical Review have included respected scholars from around the world. We are proud of the backing we have received from people of the most diverse ethnic and religious backgrounds, including Arabs, Muslims, Blacks and Jews.

At the 13th IHR Conference held last May in southern California, a featured speaker was John Sack, who is Jewish. A report by this veteran American journalist and author based on his participation in our three-day meeting appeared in the February 2001 issue of Esquire. Rejecting the often-repeated lie that the IHR and the revisionists are "haters" or bigots, Sack described those who spoke at and attended the IHR conference as "affable, open-minded, intelligent [and] intellectual." He also affirmed that numerous revisionist arguments and findings are, indeed, true.

Another speaker at that same IHR meeting was former US Congressman Pete McCloskey, who is well known as a liberal and defender of free speech.

Neo-Nazi organizations are not known to invite Jews and liberals to address their meetings.

Far from being a "neo-Nazi" group, our Institute is itself a repeated target of hate, bigotry and violence. In July 1984 our offices were burned down in a devastating arson attack, a crime for which no one was ever arrested.

Even the US government's Internal Revenue Service acknowledges, in spite of Zionist protests, that the IHR is a legitimate educational enterprise.

Around the world, awareness is growing about what a few courageous Jewish scholars are calling the "Holocaust cult" and the "Holocaust industry." Coming to grips with this emotion-laden issue demands open, reasoned debate, not name-calling and censorship.

Mark Weber
Director
Institute for Historical Review
<weber@ihr.org>


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